« Si vous voulez accumuler des trésors au paradis, il n’y a aucun meilleur organisme pour y arriver. »
C’est ainsi que l’homme d’affaire à la retraite Don Smith décrit la Bourse du Samaritain et son organisation associée, l’Association pour l’évangélisation Billy Graham du Canada (AEBGC) lorsqu’on lui demande ce que les Canadiens devraient savoir lorsqu’ils évaluent à qui et comment faire des dons de charité.
« Ce sont des organismes basés sur la prière, » explique Smith de sa maison à Spruce Grove, près d’Edmonton en Alberta. « Ils sont guidés par le Saint-Esprit et marchent avec Dieu. »
Il affirme que la Bourse du Samaritain et l’AEBGC sont « des organismes qui ne tentent de rien cacher. Ils sont ouverts, honnêtes et faciles d’approche. Ils ont fait leurs preuves partout dans le monde. »
Smith et sa femme Jane donnent à la Bouse du Samaritain du Canada depuis plusieurs années. Il a toujours été impressionné par de nombreux aspects de l’organisme d’aide et de développement, dont sa capacité à aider très rapidement et efficacement les victimes de désastres, ainsi que son Opération enfant de Noël, qui livre des boîtes-cadeaux et des messages du salut en Christ à plus de 10 millions d’enfants en difficulté chaque année.
Cet ancien cadre dans l’industrie laitière dit qu’il apprécie l’efficacité et l’intégrité financière de la Bourse du Samaritain et de l’AEBGC. « Je sais que lorsque je fais une contribution, ils feront le meilleur usage de celle-ci. Ils ne la gaspilleront pas. Le plus gros montant possible ira à la charité. »
Le conseil de la Bourse du Samaritain demande qu’au moins 90 cents de chaque dollar aille aux projets de charité, ce qui ne laisse que 10 pourcent pour l’administration et les levées de fonds. L’AEBGC doit pour sa part dépenser au moins 85 cents par dollar sur ses projets de charité.
Ces standards élevés font en sorte que la Bourse du Samaritain et l’AEBGC AECBG obtiennent une excellente performance dans les audits annuels menés par le Conseil Canadien des Charités Chrétiennes. La Bourse du Samaritain est aussi classée comme une des charités les mieux gérées, selon l’analyse annuelle des 100 plus grandes charités de MoneySense (l’AEBGC ne recueille pas des montants assez importants pour être inclus dans cette liste. Veuillez noter que cette page n’est disponible qu’en anglais.)
« Je suis impressionné par la transparence des organismes, » explique Smith. « Leurs rapports financiers sont disponibles directement sur leur site web, et ils sont responsables et répondent aux questions. Lorsque nous recevons leurs publications (incluant leurs bulletins mensuels), nous les lisons en entier. On y lit la vérité et de bonnes nouvelles, pas du marketing et de la propagande. »
Les deux organismes ont aussi un dossier vierge, tant en ce qui concerne leurs méthodes de levées de fonds que l’intégrité morale de leur direction, ajoute Smith. « Il n’y a jamais eu même un soupçon de scandale ou apparence d’irrégularité… et Dieu a grandement honoré cela. »
« Pourquoi soutenir l’Association pour l’évangélisation Billy Graham et la Bourse du Samaritain du Canada? » conclut Smith. « Parce que tout y est, tout ce que l’on veut d’un organisme… ils honorent Dieu. Quel endroit parfait pour placer son argent! »
Comment nous gérons nos finances
MoneySense classe régulièrement La Bourse du Samaritain comme une des charités canadiennes les plus efficaces, selon leur analyse de la proportion des montants récoltés que nous dépensons en administration et en levées de fonds, sur les montants que nous gardons en réserve, et sur la gestion de notre conseil. Dans le Bulletin des 100 plus grandes charités de MoneySense 2017, nous obtenons la note globale de A. La Bourse du Samaritain se trouve dans la section Aide et développement international.
Comment nous sommes responsables
Numéro d’enregistrement à l’Agence de Revenu du Canada : BN 11913 8527 RR0001
La Bourse du Samaritain subit un audit annuel de la part d’une firme indépendante de comptabilité publique et nos rapports financiers sont disponibles sur demande. À l’occasion, nous recevons plus d’argent pour un projet que ce que nous pouvons raisonnablement dépenser sur celui-ci. Dans ce cas, nous utilisons les fonds pour combler un besoin semblable ailleurs, sous la direction de notre conseil.
N’hésitez pas à visiter notre page Rapport Annuel et Responsabilité financière pour en apprendre plus. [Veuillez noter que cette page n’est disponible qu’en anglais.]